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Certification AMF : « Si j’avais su j’aurais passé la certification avant ! »

Alexandre Osorio de Abreu Vasconcelos, Directeur général délégué chez Immovalor Gestion a passé la certification AMF. Il nous fait part de son expérience chez Demos.

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Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Alexandre Osorio de Abreu Vasconcelos et depuis le 1er janvier j’ai évolué au sein du groupe Allianz en tant que Directeur général délégué d’Immovalor Gestion, la société de gestion immobilière au sein d’Allianz.  A ce titre, je vais avoir en charge toute la stratégie d’investissement et dans ce cadre-là, le « tatouage » AMF est obligatoire.  C’est donc dans ce contexte que j’ai passé la certification AMF et suivi la formation chez Demos.
J’ai été nommé en novembre 2021 pour une prise de fonction au 1er janvier 2022, et j’ai commencé à travailler la certification dès le mois de décembre.

Comment avez-vous travaillé sur cette certification ?

J’ai travaillé sur deux volets. D’abord le gros ouvrage qui fait 800 pages d’Éric Normand, il a constitué mes lectures des week-ends et des soirs. Ensuite j’ai commencé la démarche pédagogique en e-learning de Demos et ça j’ai trouvé ça canonissime !
Les parties importantes à retenir, les mots-clés sur lesquels on peut être questionné, étaient bien identifiés. Ce que j’ai apprécié par rapport à l’ouvrage, c’est la logique des choses dans les modules e-learning. Ce que j’ai aimé dans les fiches c’est qu’il y a un fil conducteur. Il y avait une logique, un vrai déroulé pédagogique.

Quels sont les avantages de la formation Demos selon vous ?

Au-delà des fiches, ce que j’ai apprécié c’est que le jour de l’examen, je me suis retrouvé « comme à la maison », c’est-à-dire que c’est exactement le même environnement, la même configuration en examen que sur le module e-learning. Et le candidat qui « bachotte » comme il faut, avec les modules tel qu’ils sont construits chez Demos réussit l’examen à coup sûr. Pour moi, la solution e-learning vient en complément du livre.

J’ai plutôt un passé d’auditeur finance, ce qui m’aide aussi, mais toute la phase sur le devoir de conseil ou l’adéquation du profil investisseur par exemple, m’a aidé à développer des réflexes qui me permettent aussi de challenger de postures de notre contrôle interne. Cela permet de se nourrir car on est toujours dans une logique d’excellence au sein d’Allianz. C’est profitable pour le candidat. Il faut aller au-delà du « bachotage » et il faut aller creuser car ça sert toujours dans la vie quotidienne.  Les fiches sont par exemple une source d’approfondissement. Cela va au-delà des simples questions.

Je l’ai fait à titre personnel bien sûr mais pas dans une simple logique de « bachotage ». Ça va me servir dans mon job. Autant mutualiser, autant approfondir, autant creuser les sujets et cela va me développer des réflexes.

Et le e-learning ?

Le e-learning c’est super, j’étais dans mon bureau ou dans le métro, je bachotais dans le métro et le soir je me faisais une batterie de questions.  Ce qui était top c’est le module examen blanc.  Le fait de ne pas avoir les réponses directement sous les questions pour lesquelles on s’est trompé oblige à rechercher dans les fiches et donc approfondir.  Dans la dernière quinzaine, j’ai fait un examen blanc tous les soirs. Ça prend 20 minutes. J’ai fait en tout une petite dizaine d’examens blancs et trois jeux de l’ensemble des 2 000 questions. J’ai eu 100% à l’examen le jour J.

Vous êtes-vous senti perdu avec les modules e-learning?

Je ne me suis pas senti perdu dans le module e-learning.  Si j’avais une question, je retrouvais l’explication dans la fiche et si ce n’était pas dans la fiche, c’était dans l’ouvrage. Et comme les fiches reprennent à 99,9% l’ensemble de l’environnement des 2 000 questions, je n’étais clairement pas perdu. Le taux d’avancement est précieux car on voit sa propre progression, où on en est, ce qu’il reste à faire et ce qui est déjà fait. C’est très rassurant. Le taux de succès sur les quizz permet aussi de voir si on maitrise un sujet ou si on doit retravailler. C’est un miroir pédagogique de la progression. Si vous avez 100% c’est que c’est acquis et que vous n’avez pas besoin de revenir dessus.

En conclusion, que conseilleriez-vous aux futurs candidats à la certification ?

Ce qui est clé pour moi c’est la régularité dans le travail, se faire un calendrier de révisions. Mais il est vrai que toute cette phase de « bachotage » peut effrayer. J’incite donc les gens à ne pas rentrer dans un simple par cœur car une semaine après l’examen il sera oublié.

Cette formation a été très enrichissante car elle m’a permis de croiser ce que j’ai appris et certaines de mes connaissances et cela m’a également permis d’approfondir voire de découvrir des domaines que je voyais de loin. Pour moi, cette formation devrait être un passage obligé pour toute fonction comme l’asset ou de la gestion ne serait-ce que pour avoir la bonne culture et les bons réflexes aussi. Si j’avais su j’aurais passé la certification avant !